Game Dev Story

Il était une fois une boite de jeux indépendants… Si cette phrase vous parait commune sur GSS cette fois-ci, nous parlons en fait du pitch d’un jeu. Le concept a déjà été exploré sur console de salon avec SEGAGAGA sur Dreamcast mais se proposait sous la forme d’un RPG et non un jeu de gestion comme nous le propose ici Game Dev Story.

Non ce n’est pas Habbo hôtel dans ton portable.

Premier regard sur l’écran et les plus kikoo d’entre vous auront les yeux brulés par les graphismes en pixel art, les plus nostalgiques en revanche seront charmés par la touche très rétro du titre. L’écran est fixe et aucune interaction n’est possible directement sur l’environnement, toutes les actions se gèrent via le menu apparaissant à la simple pression de votre doigt sur l’écran. Les menus sont simples et clairs pour toute personne parlant un minimum la langue de Shakespeare (soit tout geek se respectant un minimum).

Le titre est avant tout un jeu de gestion, vous pourrez fixer le salaire de vos employés, le mode de développement d’un jeu, le faire réaliste ou mignon, le mode de publicité que ce soit journaux ou TV et tout ce qui peut tourner autour de la vie d’un jeu. Pour tout cela vous disposez au départ d’une équipe de 4 employés et d’une secrétaire (je n’ai pas encore trouvé comment on activait l’option pour coucher avec). La progression est assez bien ficelée, au départ vous remplissez des contrats de sous traitant  pour des musiques de jeux, des scénarios, etc. Et quand vous aurez assez d’argent, vous pourrez vous payer une licence pour une console.

Mais c’est rétro ou pas ?

L’univers est blindé de références, les noms de consoles sont assez facilement reconnaissables malgré quelques détournements (Game Kid, Neongeon, Playstatus…). Tous les ans la GameDex vous permettra d’embaucher des mascottes ou des babes pour votre stand, histoire de bien aguicher Kevin. Lors de la remise des Awards vous apercevrez des noms eux aussi aux références rétro, je vous laisse le soin de les trouver. Le tout enrobé de pixel art et de chiptune comme un bon vieux jeu Super Nintendo l’aurait fait.

Après avoir créé un certain nombre de jeux, votre local pourra s’agrandir et accueillir de nouveaux employés, dont certains particuliers (par exemple un roi qui a déserté son trône pour vous rejoindre). De nouveaux styles de jeux et de nouveaux univers se développent afin de proposer plus de combinaisons, les consoles s’enchainent assez rapidement (si vous êtes fauchés, vous pourrez toujours faire de la sous traitance pour remplir les caisses et racheter de nouvelles licences). Et si vous êtes assez bon pourquoi ne pas sortir une suite à l’un de vos succès ou créer votre propre console ?

Seul petit bémol sur les musiques du jeu bien trop répétitives. J’ai beau aimer la chiptune, dans le cas présent ça finis vraiment par lasser. Mais au final pour un peu plus de 2€ et un peu moins que le prix d’un demi au bistrot du coin vous trouverez dans ce titre de quoi vous occuper de bonnes heures et de quoi rallumer la flamme du petit rétrogamer tapi au fond de vous.

 

Il était une fois une boite de jeux indépendants… Si cette phrase vous parait commune sur GSS cette fois ci nous parlons en fait du pitch d’un jeu. Le concept a déjà été exploré sur console de salon avec SEGAGAGA sur Dreamcast mais se proposais sous la forme d’un RPG et non un jeu de gestion comme nous le propose ici Game Dev Story.

Non ce n’est pas Habbo hotel dans ton portable.

Premier regard sur l’écran et les plus kikoo d’entre vous auront les yeux brulés par les graphismes en pixel art, les plus nostalgiques en revanche seront charmés par la touche très rétro du titre. L’écran est fixe et aucune interaction n’est possible directement sur l’environnement, toutes les actions se gèrent via le menu apparaissant à la simple pression de votre doigt sur l’écran. Les menus sont simples et clair pour toute personne parlant un minimum la langue de Shakespeare (soit tout geek se respectant un minimum)

Le titre est avant tout un jeu de gestion, vous pourrez fixer le salaire de vos employés, le mode de développement d’un jeu, le faire réaliste ou mignon, le mode de publicité que se soit journaux ou TV et tout ce qui peut tourné autour de la vie d’un jeu. Pour tout cela vous disposé au départ d’une équipe de 4 employés et d’une secrétaire (je n’ai pas encore trouvé comment on activait l’option pour coucher avec). La progression est assez bien ficelée, au départ vous remplissez des contrats de sous traitant  pour des musiques de jeux, des scénarios…etc…Et quand vous aurez assez d’argent vous pourrez vous payer une licence pour une console.

Mais c’est rétro ou pas ?

L’univers est blindé de références, les noms de consoles sont assez facilement reconnaissables malgré quelques détournements (Game Kid, Neongeon, Playstatus…). Tous les ans la GameDex vous permettra d’embaucher des mascottes ou des babes pour votre stand, histoire de bien aguicher Kevin. Lors de la remise des awards vous apercevrez aussi des noms eux aussi aux références rétro, je vous laisse le soin de les trouver. Le tout enrobé de pixel art et de chiptune comme un bon vieux jeu Super Nintendo l’aurait fait.

Après avoir créé un certain nombre de jeux votre local pourra s’agrandir et accueillir de nouveaux employés dont certains particuliers (par exemple un roi qui a déserté son trône pour vous rejoindre). De nouveaux styles de jeux et de nouveaux univers se développent afin de proposer plus de combinaisons, les consoles s’enchainent assez rapidement (si vous êtes fauchés vous pourrez toujours faire de la sous traitance pour remplir les caisses et racheter de nouvelles licences.). Et si vous êtes assez bon pourquoi ne pas sortir une suite à l’un de vos succès ou créer votre propre console.

Seul petit bémol sur les musiques du jeu bien trop répétitives, et j’ai beau aimé la chiptune dans le cas présent ça finis vraiment par lasser. Mais au final pour un peu plus de 2€ et un peu moins que le prix d’un demi au bistrot du coin vous trouverez dans ce titre de quoi vous occuper de bonnes heures et de quoi rallumer la flamme du petit rétrogamer tapis au fond de vous.

Il était une fois une boite de jeux indépendants… Si cette phrase vous parait commune sur GSS cette fois ci nous parlons en fait du pitch d’un jeu. Le concept a déjà été exploré sur console de salon avec SEGAGAGA sur Dreamcast mais se proposais sous la forme d’un RPG et non un jeu de gestion comme nous le propose ici Game Dev Story.

Non ce n’est pas Habbo hotel dans ton portable.

Premier regard sur l’écran et les plus kikoo d’entre vous auront les yeux brulés par les graphismes en pixel art, les plus nostalgiques en revanche seront charmés par la touche très rétro du titre. L’écran est fixe et aucune interaction n’est possible directement sur l’environnement, toutes les actions se gèrent via le menu apparaissant à la simple pression de votre doigt sur l’écran. Les menus sont simples et clair pour toute personne parlant un minimum la langue de Shakespeare (soit tout geek se respectant un minimum)

Le titre est avant tout un jeu de gestion, vous pourrez fixer le salaire de vos employés, le mode de développement d’un jeu, le faire réaliste ou mignon, le mode de publicité que se soit journaux ou TV et tout ce qui peut tourné autour de la vie d’un jeu. Pour tout cela vous disposé au départ d’une équipe de 4 employés et d’une secrétaire (je n’ai pas encore trouvé comment on activait l’option pour coucher avec). La progression est assez bien ficelée, au départ vous remplissez des contrats de sous traitant  pour des musiques de jeux, des scénarios…etc…Et quand vous aurez assez d’argent vous pourrez vous payer une licence pour une console.

Mais c’est rétro ou pas ?

L’univers est blindé de références, les noms de consoles sont assez facilement reconnaissables malgré quelques détournements (Game Kid, Neongeon, Playstatus…). Tous les ans la GameDex vous permettra d’embaucher des mascottes ou des babes pour votre stand, histoire de bien aguicher Kevin. Lors de la remise des awards vous apercevrez aussi des noms eux aussi aux références rétro, je vous laisse le soin de les trouver. Le tout enrobé de pixel art et de chiptune comme un bon vieux jeu Super Nintendo l’aurait fait.

Après avoir créé un certain nombre de jeux votre local pourra s’agrandir et accueillir de nouveaux employés dont certains particuliers (par exemple un roi qui a déserté son trône pour vous rejoindre). De nouveaux styles de jeux et de nouveaux univers se développent afin de proposer plus de combinaisons, les consoles s’enchainent assez rapidement (si vous êtes fauchés vous pourrez toujours faire de la sous traitance pour remplir les caisses et racheter de nouvelles licences.). Et si vous êtes assez bon pourquoi ne pas sortir une suite à l’un de vos succès ou créer votre propre console.

Seul petit bémol sur les musiques du jeu bien trop répétitives, et j’ai beau aimé la chiptune dans le cas présent ça finis vraiment par lasser. Mais au final pour un peu plus de 2€ et un peu moins que le prix d’un demi au bistrot du coin vous trouverez dans ce titre de quoi vous occuper de bonnes heures et de quoi rallumer la flamme du petit rétrogamer tapis au fond de vous.

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