Pinstripe : le soft qui venait du froid (je l’ai pas déjà faite celle-là ?)

Newser un samedi matin (enfin un vendredi soir) ne m’enchante guère, pourtant aujourd’hui est un jour spécial car j’ai eu vent de quelque chose qui me motive grandement. Non pas que Leen ait soudainement eu envie de poser en bikini pour moi, mais plutôt parce que j’ai appris que vous étiez de plus en plus nombreux à nous suivre. Et pour cela, merci !

Mais bon, l’heure n’est pas aux cérémonies, retournons donc à notre sujet. Pinstripe, titre développé grâce à la volonté d’une seul personne à savoir Thomas Brush, est un titre curieux, dégageant un petit je ne sais quoi qui le rend charmant. Pourtant l’histoire est assez banale en soit, puisqu’il s’agit d’aider un homme à retrouver sa femme morte. Un fait que nous autres joueurs avons l’habitude de côtoyer vous en conviendrez. En réalité, l’intérêt se trouve dans le gameplay et le graphisme.

Mélange entre Limbo pour les énigmes et un soupçon de Botanicula pour les couleurs, Pinstripe bien que mystérieux semble s’inscrire dans la tradition de l’apprentissage par l’échec. Un genre qui subsiste encore de nos jours, malgré un public de plus en plus restreint. On ne peut que saluer le travail effectué sur les décors hivernaux, et je suis curieux de savoir si le personnage peut upgrader son gros canon (hum hum) afin d’avancer. Hélas, le créateur entretient le mystère autour de sa production (il n’a même pas de site), et on ne sait ni date de sortie ni plate-forme d’accueil.

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