Kill Mittal : un jeu qui a « des couilles »…

Je suis content d’être revenu. Sincèrement. Non seulement parce que je constate que GSS avance malgré mon absence, ce qui n’a rien d’étonnant me direz-vous, mais aussi parce que cela fait plaisir de voir que l’imagination des développeurs est toujours aussi fertile. Et devinez-quoi ? Je suis amoureux là. Littéralement.

Pourquoi ? Parce que j’aime les sujets atypiques. Ceux qui sortent de l’ordinaire, qui dispose d’un charme particulier et qui vous prennent aux tripes. Mais soyons honnêtes, ce genre d’émotions devient de plus en plus rares face aux productions pasteurisées que l’on nous sert sur les consoles actuelles. Al, un nancéien pur souche, est apparemment du même avis que moi et a décidé de sortir un jeu basé sur une triste réalité économique : les licenciements.

Alors bon, je ne vous cache pas que j’aurai préféré accoster le jeune homme, un calepin dans la main droite et mon Nikon D7000 dans la main gauche, un peu comme dans mon travail de tous les jours, mais manque de bol cela est impossible. Je devrais me contenter de parler du soft. C’est peut-être mieux ainsi, d’ailleurs. Mais attaquons le vif du sujet : Kill Mittal est basé sur un scénario simple, c’est-à-dire que nous incarnons un ouvrier désespéré bien décidé à défendre son emploi face à Mittal, employeur indien aux pratiques assez étranges. Une tâche ardue face à une multinationale vampirique, mais heureusement, VOUS êtes là, bien installé au chaud devant votre PC/Mac.

Mais stop, assez parlé. Rendez-vous ici, et essayez. Peut-être cela éveillera-t-il un semblant de convictions chez vous.

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