Shipbreakers

Les bons jeux de pirates se font rare (j’en ai testé un tellement mauvais sur Switch que j’ai même décider de ne pas écrire de test pour ne pas être méchant), heureusement Shipbreakers fait remonter la barre, avec une démo dépourvu de rhum mais pas de fun.

Prenant place sur une toute petite planète couverte d’eau (on voit son noyau par transparence) vous incarnez un petit bateau pirate qui va devoir dézinguer les autres navires pour devenir le roi des mers (enfin si on considère qu’il y en a plusieurs). Pour ce, avec une gâchette on tire des canons à babord, et avec l’autre, à tribord, et on se dirige avec le stick gauche. Prise en main immédiate et rapide, digne d’un jeu d’arcade, Shipbreakers dévoile ensuite ses mécaniques au fur et à mesure. Primo une toute petite planète c’est mignon, mais ça veut surtout dire que les canons que vous tirez vont faire le tour et vous revenir dans la tronche, il va donc falloir éviter de tirer à tout va. Secundo, le Kraken n’est pas un myhte, et il est bien décidé à broyer votre navire à l’aide de ses tentacules qui apparaitront ça et là. On se doute d’ailleurs très fortement que la créature mythologique fera office de boss plus tard dans le jeu. Les autres bateaux pourront être abordés si vous parvenez à les « étourdir » en tirant précisément sur la proue de ceux-ci, vous permettant ensuite de récupérer de nouveaux matelots qui viendront améliorer les statistiques de votre bâtiment flottant. De nouveaux types d’ennemis, aux armes très différents viendront corser l’aventure au fil des niveaux (bombes, lasers, etc).

Au concept tout bête mais terriblement efficace, Shipbreakers à su me redonner confiance dans les jeux de piraterie. Nul doute que je préparerai une belle bouteille de rhum arrangé pour pouvoir tester le jeu comme un véritable pirate à sa sortie.

P.S : Cette preview a été écrite tout en écoutant l’OST de Pirate des caraïbes.

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