Just One Line

Basé sur le principe des Livres dont vous êtes le héros, vous incarnez dans Just One Line un personnage partant à l’aventure. Quatre races (humain, elfe, nain, orc) et de nombreuses classes sont disponibles (rôdeur, clerc, guerrier…) mais la plupart sont verrouillées au départ. Les premières parties se déroulent donc avec un Roturier Humain qui ne peut pas utiliser grand chose (armures basiques, outils ou armes peu évoluées…).

Le jeu commence à la taverne, où vous pouvez dépenser votre argent dans un meilleur équipement et lancer une quête depuis le panneau d’affichage. Bagarre de taverne, enfant perdu, attaque de gobelins, vous avez peu d’indications si ce n’est la récompense promise en cas de réussite, à vous d’imaginer la difficulté de la mission.

Une fois choisie, tout se déroulera de façon textuelle. Vous aurez un descriptif de la situations et quelques choix possibles (suivre le chemin, questionner la personne rencontrée, retourner à l’auberge, etc.). J’ai été assez surpris qu’il y ait une traduction française mais je l’ai vite désactivée car elle est blindée de fautes, dommage pour ce type de jeu.

Je suis également déçu par la mise en scène car si la 3D assez minimaliste n’est pas folle, j’avais espéré voir un peu de paysage et non pas uniquement un plan fixe par mission, on passe à côté de ce que peut apporter le jeu vidéo à la formule de base.

Cette première heure ne m’a vraiment pas convaincu. Les quêtes se terminent rapidement dans d’atroces souffrances (j’ai vu sur le forum qu’il fallait en fait souvent prendre la fuite) et lire avec un fond qui bouge légèrement est assez désagréable. En plus de ça, seulement une vingtaine de quêtes sont disponibles, j’ai donc également peur pour la durée de vie si jamais le jeu plaît… Dommage.

Bestio

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