Pour nous mettre en confiance, son écran de démarrage nous accueille avec une roadmap des mises à jour prévues, même si celle-ci ne va à ce jour que jusqu’au mois de juin de cette année. Un plus indéniable qui accompagné d’un investissement continu de ses développeurs devrait en théorie permettre à Endzone d’aller au bout de ses ambitions. Ainsi les bases sont bonnes et pleines de potentiel mais restent limitées en termes de richesse et de complexité. On y retrouve les habituels bâtiments de stockage de ressources et les habitations nécessaires pour protéger notre communauté composée de survivants. On se retrouve cependant assez vite enfermé dans une chaîne de production assez linéaire consistant à récolter des ressources, à construire des bâtiments pour les stocker et d’autres pour les raffiner en de meilleures ressources, et bis repetita.
Certains édifices ont des fonctions plus originales permettant d’améliorer l’état émotionnel de nos survivants pour les rendre plus efficaces, apportant ainsi une composante sociale à Endzone ; chose qu’un Frostpunk avait su faire de manière assez originale, notamment en mettant l’accent sur un système de choix moraux et de narration. Ainsi, dans Endzone, les membres de notre communauté ne sont pas des anonymes, mais des personnes ayant un nom et des liens familiaux apparents avec d’autres membres de celle-ci.