La difficulté dans ce genre de jeu, c’est un peu le but, me diriez-vous. Effectivement, un jeu qui s’appellerait “&Retry”, ça n’aurait pas trop d’intérêt. Et puis recommencer sans mourir, ça serait un peu étrange aussi. Ce qui nous amène au défaut le plus important d’Electronic Super Joy. Le laps de temps qui sépare la mort et la réapparition est horriblement long. Bien qu’elle n’excède pas la seconde (quoi que je n’ais pas chronométré), l’animation permet de se rendre compte que l’on est mort et que l’on va devoir recommencer ce que l’on vient lamentablement de rater. Et c’est très frustrant. Mais le fait que des checkpoints parsèment les niveaux calme un peu notre colère et nous permet d’avancer un peu plus sereinement. Je pourrai là encore discuter sur le fait que ces points de contrôle soient placées de façon très aléatoire et que certaines parcelles soient beaucoup plus longue et difficile que d’autre, mais ça serait chipoter. En fait, je viens quand même de le faire.
Assez parler des défauts du jeu. Vous savez ce qui ne va pas, mais vous ne connaissez encore rien d’Electronic Super Joy. Le jeu se présente donc en scrolling horizontal ou vertical selon les niveaux, et se joue en 2D dans une ambiance à la fois très colorée par le background, et très sombre sur le premier plan. Vous dirigez un petit bonhomme qui est le seul espoir d’un peuple pour sauver son univers. Ces gens pourront vous donner des pouvoirs. Plus précisément, à chaque monde correspond un pouvoir qui vous sera attribué, sans possibilité de garder l’aptitude acquise précédemment. Il y a 4 mondes à parcourir composé de 15 niveaux, excepté pour le dernier monde où seuls 4 parcours seront à faire.
1 réflexion au sujet de « Electronic Super Joy »
Au cas où ça intéresse du monde, il est encore disponible pour pas cher dans le dernier Indie Royale http://www.indieroyale.com/
Bon test 😉