Le niveau du PH est aussi à vérifier et tout cela se règle grâce à des règles naturelles très simples : il suffit d’y ajouter des algues, des coquillages, des espèces vivantes s’occupant par exemples des cadavres de poissons morts comme les Ecrevisses, pour que tout se passe au mieux. Chaque espèce vivante à ses propres besoins et surtout, il va falloir veiller à ce que le nid de chacune de ces espèces soit entouré du bon nombre d’herbes, de rochers et autres agréments pour que la petite famille d’œufs éclose dans les meilleures conditions possibles.
Aussi, évidemment, chaque poisson à ses proies favorites et il faudra veiller à bien composer son lac de façon à ce que dame nature régule tout cela de la meilleure des façons. Chacun se mange pour mieux vivre ensemble… Oui, c’est un peu bizarre, mais c’est comme ça ! Deux ressources sont disponibles : l’argent, qui vient de temps en temps s’ajouter à notre porte-monnaie comme les dons et les subventions d’une ONG qui débute gentiment, mais aussi ce qu’on nommera des « informations » récompensant certains objectifs précis pour chaque mission.
C’est avec ces deux ressources que vous ajouterez le vivant dans vos lacs, mais aussi quelques améliorations bienvenues comme l’arrivée plus fréquente d’argent ou la fécondation plus rapide de vos poissons.
Véritable jeu de gestion autant qu’encyclopédie du vivant, mais aussi puissant outil pédagogique en devenir, Among the Ripples a un bel avenir. Pour l’instant mignon avec ses tutoriaux camouflés en petites missions, ses caméras reprenant le point de vue des espèces vivantes et son style graphique tout en esquisses de vieux carnets de croquis scientifiques, ce jeu a tout de même encore beaucoup de temps de développement à subir pour être la petite fraicheur aux idées écologiques bienvenues dans notre monde du jeu vidéo.