Rapide Critique

Tales from candleforth

Crim
Publié le 9 mai 2024

Développeur

Under the bed games

Éditeur

Feardemic

Date de Sortie

30 avril 2024

Prix de lancement

11.8 €

Testé sur

Nintendo Switch

Dans un mood d’envie de jeu plus posé, Tales from Candleforth répondait pile poil à mon envie : un jeu calme qui propose une atmosphère très forte. Et il est vrai que le jeu commence très fort de ce côté-là. Dans un premier temps, on incarne une personne (clairement : nous, joueur) qui est dans un endroit bien mystérieux. Notre premier objectif, qui vient faire office de tutoriel, est de réussir à ouvrir une porte, où nous attend une personne à tête de citrouille, qui va nous raconter un conte, qui change à chaque fois qu’on lit le livre en question.

Direction Candleforth, petit village protégé par une génération de sorcières de mères en filles. On commence par incarner la grand-mère, qui se rend compte que « l’heure arrive et qu’il faut agir ». Ce truc très mystérieux se traduit à l’écran par l’ouverture d’une faille vers un autre endroit, sans que l’on comprenne réellement de quoi il en retourne. Problème, mamie est malade et se retrouve bloquée et sans force pour poursuivre. Elle demande donc à sa petite fille, que l’on incarnera par la suite, de trouver 3 ingrédients pour concocter une potion pour la guérir et ainsi qu’elle puisse retrouver toutes ses forces, notamment magiques, pour remédier à tout ce bazar.

Il faudra donc trouver tout un tas d’objet, pour résoudre tout un tas de puzzle, tout ça pour ouvrir tout un tas de porte, jusqu’à obtenir l’objet de la potion, puis basculer vers une nouvelle dimension et recommencer. Reprenant les mécaniques de point and click, les dialogues en moins étant donné que vous ne croiserez personne durant vos recherches, le jeu se rapproche plus d’un escape game, en version pas spécialement compliquée, ni avec tant d’énigmeq à résoudre pour avancer, d’autant plus qu’elles seront rarement claires et l’on comprend plus ce que l’on doit faire par le fait d’avoir très peu d’interaction.

On joue plus à Tales from the Candleforth pour son ambiance et sa proposition artistique qui sont toutes les deux très réussies, que pour son histoire (on voit le twist de la séquence de fin arriver à des kilomètres) et ses puzzles qui peinent à convaincre pendant les deux-trois heures qu’il faut pour boucler le titre. Et surtout, ne faites pas l’erreur d’y jouer sur console si vous avez la possibilité d’y jouer sur PC, le contrôle au joystick rend l’expérience plus désagréable qu’elle ne l’est réellement.

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