Des dés pour contrôler des créatures, telle est votre destinée.
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Silence of the siren
Développeur
Oxymoron Games
Éditeur
Oxymoron Games
Date de Sortie Prévue
Early Access pour début 2024
version testée
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Testé sur
PC
Si vous êtes un habitué des jeux de stratégie sur PC, la phrase qui suit devrait vous suffire à comprendre et être intéressé par Silence of the Siren : « C’est Heroes of Might and Magic, dans l’espace, avec des taupes communistes ».
Bon, OK, pour les autres qui ne connaissent pas la franchise HOMM, on va tout de même détailler un peu ce que c’est, et promis, on ne vous juge pas. L’objectif, comme dans tout jeu de stratégie, est de bâtir un empire et de s’étendre tout en venant à bout de nos adversaires. On y contrôle un héros, accompagné par son armée, qui se déplace sur une map pour dénicher des ressources, s’emparer de mines, trouver du matériel pour se booster et enfin se battre contre la faune locale ou contre d’autres héros (eux aussi accompagnés de leur armée).
Les ressources, qui se composent d’or et de cinq types de matériaux différents, permettront d’améliorer la ville, au rythme d’un bâtiment par jour, pour principalement pouvoir recruter de nouvelles créatures qui rejoindront l’armée. Comme dans son homologue, le cycle de progression est basé sur la journée (pour les tours) et les semaines (pour le renouvellement des stocks d’unités à recruter).
Lors des combats, en plus des créatures, votre héros (qui n’est pas physiquement présent sur le champ de bataille) pourra intervenir avec des pouvoirs issus d’armes technologie (vu qu’on est dans le space-opéra). Les affrontements se déroulent en dehors de la map d’exploration, sur un damier constitué d’hexagones, où les unités s’activent en fonction de leur vitesse d’action. Bref, si vous avez déjà joué à HOMM, vous serez parfaitement en terrain connu.
L’unique petite variation que l’on a pu voir est la possibilité d’utiliser des objets consommables pour gagner des points de mouvement supplémentaires pour le tour en cours, ou bien des petits buffs valables pour le combat à venir. Côté Direction artistique par contre, on est bien servi, avec quatre peuples différents dont un de taupes motardes communistes, et ça franchement, ça n’a pas de prix !
Lorsque votre Zelda devient pacifiste, il ne reste plus que des caisses à pousser.